Tête à l’âne
Acrylique sur toile 50×65 (décembre 2007)
A la sortie de la ville la Marne infléchi son cours vers l’ouest. Parfois des cygnes remontent nonchalamment le courant tranquille, à d’autres moments des poules d’eau, sans doute surprises dans leurs activités, la traversent rapidement. D’essences différentes, quelques uns des arbres qui la bordent, y plongent les feuilles de l’extrémité de leurs branches. Dans la courbure de la rivière il y a une ile. Pour je ne sais quelle raison, elle se nomme : « la tête à l’âne ».